Témoignages
S. petite fille adoptée d'origine africaine a subi une agression verbale qui a profondément abîmé son image d'elle même.
Voici le message reçu de sa maman quelques heures après notre rendez-vous (qui a duré moins de 30 minutes...)
Un petit mot pour encore te remercier de la belle séance avec ma fille. Elle va super bien depuis !
En allant faire nos courses l'après-midi, je lui ai proposé d'aller se renseigner pour lui faire des longues tresses chez une coiffeuse africaine.
Elle a accepté et a franchi le pas pour le faire. Malgré que ce fut super douloureux pour elle car ça fait super mal de démêler ses cheveux puis d'accrocher les tresses, elle est super heureuse d'avoir enfin des longs cheveux !!!
E. cherchait du travail depuis plusieurs mois, voici le message reçu 2 jours après notre séance :
Je ne sais pas ce que tu as réussi à "débloquer" en moi, mais j'ai quelques nouveaux entretiens qui se sont très bien déroulés, sans stress ... crossing fingers pour les semaines qui viennent ...
Elle a retrouvé du travail 3 semaines plus tard...
M. est venue me voir car elle ne se sentait pas légitime dans la voie professionnelle qu'elle souhaite suivre. Voici ce qu'elle écrit...
Véronique a le chic pour mettre le doigt sur ce qui coince. Et de là, bien sûr, y travailler pour retrouver son équilibre et sa sérénité.
F. nous livre son vécu :
Toute ma vie, j'ai eu peur de mon père. Il est alcoolique depuis au moins 35 ans.
Il y a 5 ans, un anévrisme et AVC ont changé pas mal de choses dans ma vie. Depuis je suis aphasique. Pour m'en sortir, je me suis battue.
A la mort de ma mère, le 14 juillet 2011, le puzzle de ma vie s'est mis en route... et cette peur a malheureusement augmenté envers mon père. Pourtant, je devais continuer à me battre. A plusieurs niveaux.
Le 9 octobre 2012, le jour de mon anniversaire, mon père a fait un Délirium Tremens. Quelques mois après, les neurologues et moi, nous avions l'idée de lui demander s'il pouvait aller vivre dans une maison de repos. Sinon, l'hôpital et les problèmes allaient revenir en courant.
Une réunion était décidée et je devrais, enfant unique, faire cette demande à mon père. J'étais affaiblie avec l'anxiété, la fatigue et surtout la peur. En plus, depuis que je suis aphasique, je suis aussi très fragile.
J'allais faire comment ? Comment je m'en sortirais ? Dans quel état, j'allais me retrouver. Je ne savais plus respirer correctement, j'avais déjà mal au ventre.
Alors, j'ai été voir Véronique. Grâce à elle, j'ai eu moins peur. Vachement moins peur !
A mon père, j'avais pu parler sans trembler. Je pleurais mais j'avais réussi et j’étais fière de ce que j'avais fait. Il avait, enfin ,accepté de partir dans une Résidence.
Aujourd'hui, je ne veux plus le voir tellement il m'a abimée mais je n'ai plus peur de mon père.
Merci Véronique. Tu m'as beaucoup aidée. Sans toi, je tremblerais sans doute encore.
S. petite fille adoptée d'origine africaine a subi une agression verbale qui a profondément abîmé son image d'elle même.
Voici le message reçu de sa maman quelques heures après notre rendez-vous (qui a duré moins de 30 minutes...)
Un petit mot pour encore te remercier de la belle séance avec ma fille. Elle va super bien depuis !
En allant faire nos courses l'après-midi, je lui ai proposé d'aller se renseigner pour lui faire des longues tresses chez une coiffeuse africaine.
Elle a accepté et a franchi le pas pour le faire. Malgré que ce fut super douloureux pour elle car ça fait super mal de démêler ses cheveux puis d'accrocher les tresses, elle est super heureuse d'avoir enfin des longs cheveux !!!
E. cherchait du travail depuis plusieurs mois, voici le message reçu 2 jours après notre séance :
Je ne sais pas ce que tu as réussi à "débloquer" en moi, mais j'ai quelques nouveaux entretiens qui se sont très bien déroulés, sans stress ... crossing fingers pour les semaines qui viennent ...
Elle a retrouvé du travail 3 semaines plus tard...
M. est venue me voir car elle ne se sentait pas légitime dans la voie professionnelle qu'elle souhaite suivre. Voici ce qu'elle écrit...
Véronique a le chic pour mettre le doigt sur ce qui coince. Et de là, bien sûr, y travailler pour retrouver son équilibre et sa sérénité.
F. nous livre son vécu :
Toute ma vie, j'ai eu peur de mon père. Il est alcoolique depuis au moins 35 ans.
Il y a 5 ans, un anévrisme et AVC ont changé pas mal de choses dans ma vie. Depuis je suis aphasique. Pour m'en sortir, je me suis battue.
A la mort de ma mère, le 14 juillet 2011, le puzzle de ma vie s'est mis en route... et cette peur a malheureusement augmenté envers mon père. Pourtant, je devais continuer à me battre. A plusieurs niveaux.
Le 9 octobre 2012, le jour de mon anniversaire, mon père a fait un Délirium Tremens. Quelques mois après, les neurologues et moi, nous avions l'idée de lui demander s'il pouvait aller vivre dans une maison de repos. Sinon, l'hôpital et les problèmes allaient revenir en courant.
Une réunion était décidée et je devrais, enfant unique, faire cette demande à mon père. J'étais affaiblie avec l'anxiété, la fatigue et surtout la peur. En plus, depuis que je suis aphasique, je suis aussi très fragile.
J'allais faire comment ? Comment je m'en sortirais ? Dans quel état, j'allais me retrouver. Je ne savais plus respirer correctement, j'avais déjà mal au ventre.
Alors, j'ai été voir Véronique. Grâce à elle, j'ai eu moins peur. Vachement moins peur !
A mon père, j'avais pu parler sans trembler. Je pleurais mais j'avais réussi et j’étais fière de ce que j'avais fait. Il avait, enfin ,accepté de partir dans une Résidence.
Aujourd'hui, je ne veux plus le voir tellement il m'a abimée mais je n'ai plus peur de mon père.
Merci Véronique. Tu m'as beaucoup aidée. Sans toi, je tremblerais sans doute encore.
Guérir les blessures de l'enfance pour ouvrir de nouveaux possibles...